Passer une journée sans « j’aime » sans « poke » et sans « messages », c’est un véritable défi à relever pour la nouvelle génération. C’est exactement de défi que vous propose la journée mondiale sans Facebook, célébrée le 28 février de chaque année. Cet article vous plonge dans l’ambiance de cette journée vécue comme une journée ordinaire pour les uns, mais un véritable challenge pour les autres.

Un jour contre la cyberdépendance

La journée mondiale sans Facebook fait de plus en plus parler d’elle dans la toile et dans le monde des médias. En effet, c’est une journée où la retenue est de rigueur et où il faut se séparer de ses « amis » pendant 24 heures. Ainsi, cette journée a pour principal objectif de lutter contre la cyberdépendance et de faire comprendre à tout un chacun que sa vie ne tourne pas autour de ce réseau social. À l’origine, si l’intention est honorable, on émet parfois des doutes sur la suivie de cette journée d’abstention. En effet, personne ne peut être sûr que les internautes auront assez de retenue pour ne pas aller sur Facebook durant 24h, à moins qu’ils ne soient occupés par autre chose.

Cette journée est-elle suivie ?

Oui ! Mais dans une moindre mesure. Selon une étude réalisée récemment par une agence de statistique européenne, les internautes n’acceptent de suivre cette journée d’abstention que s’ils ont d’autres moyens pour rester en contact avec leurs amis. Ainsi, l’apparition d’outils de communication comme Viber et Whatsapp fait que les adeptes de Facebook commencent à diminuer progressivement. Il faut aussi dire que la concurrence de Twitter joue grandement sa part durant cette journée. Toutefois, Facebook est devenu de nos jours un automatisme pour certains qui se verraient mal abandonner les « likes » les « shares » et les « pokes ».

Sources : - Meltybuzz.fr/vendredi-28-fevrier-la-journee-mondiale-sans-facebook-a258453.html - Francoischarron.com/journee-mondiale-sans-facebook-:-on-fait-une-pause/-/AX3fZv5qpn/