Le plan d’action du gouvernement

Dans le cadre de la nouvelle réforme sur les rythmes scolaires dans les écoles primaires, le gouvernement a tenu à éclaircir certaines questions et à mettre en place des mesures d’accompagnement. Lesquelles ? Réponse ci-dessous. Elles sont gérées différemment selon les communes. Les enseignants ont en un moment donné pesé sur le processus législatif pour terminer plus tôt leur travail. C’est pour cela que, selon leurs disponibilités, les élèves peuvent terminer plus tôt. Ainsi, les enfants peuvent être libérés à 15h. Même si les collectivités veulent que les activités soient gratuites pour les enfants, notamment ceux qui se sont déjà inscrits avant la réforme. Toutefois, des aides sont prévues pour les collectivités en difficultés et dans les ZEP pour aider les parents à supporter les couts supplémentaires liés au changement du rythme scolaire. En revanche, cet apport de l’État ne va durer qu’une seule année, ou du moins, le montant de cette subvention déclinera sensiblement dès la seconde année. Cette question concerne celle de la qualité des activités fournies. En effet, certains parents estiment qu’elles ne sont juste que des activités de garderie et qu’il leur est plus avantageux d’engager une nounou. Aussi, chaque commune devra faire avec les moyens de bord pour organiser ces activités pédagogiques. Toutefois, l’État prévoit une enveloppe de 250 millions d’euros pour aider ces communes. Ainsi, chacune d’entre elles se verra allouer une contribution de 50 euros par élève.